I - Mort

L'histoire ce passe dans un monde semblable à celui qu'on connaît et qui est à notre époque. Durant cette époque sanglante et désastreuse l'humanité allait connaître l'enfer, pire que la peste noir ou les guerres mondiales du XXème siècle. Le monde allait plongé dans le chaos le plus total. Un virus ou une bactérie avait été créer sur Terre. Nul ne le sait encore, mais à cause de cela, une minorité hommes avaient été contaminés et les humains ne connaissèrent pas encore cette tragédie. La contamination avait été fulgurante, mais elle n'avait pas encore atteint un petit village éloigné de toute les grandes villes.

L'histoire de nos protagonistes commence dans une ferme, il n'avait pratiquement aucun contact avec le monde extérieur car ils vivaient en auto alimentation et dans une grange ils élevaient des vaches pour avoir du lait et de la viande. C'était le soir après une bonne journée de boulot comme ils avaient l'habitude de faire. Et ils étaient en train de discuter à table avec un bon repas pour décompresser de leur journée. Des dizaines de minutes s'écoulaient et ils n'avaient toujours pas fini (peut-être était-ce à cause du vin?!). Et tout à coup, ils entendirent frapper à la porte. Au début, ils croyaient que ce n'était rien car les visites n'étaient pas leur fort et encore moins le soir. Puis un deuxième coup plus sauvage et violent que le premier, les interpellèrent. Ils se regardèrent dans les yeux et au même moment un mauvais pressentiment s'étaient emparé d'eux. A ce moment, ils ont décidé d'ouvrir la porte, mais arrivé à la porte d'entré, la porte éclata en morceaux et ils virent un homme avec des yeux blancs et un visage inexpressif. Le plus troublant, c'est qu'il était seul et sans armes pour avoir détruit la porte, il avait les poings ensanglantés. Le doute c'étaient emparés de leurs être.

Maintenant vous devez faire un choix,
1-vous essayer de discuter avec lui
2-vous vous dirigez à l'étage
3-vous allez dans la salle à manger
4-vous allez dans le garage

Ceux là qui vont décider le choix peuvent le choisir au même ou au hasard.

Je suis grand. Large d'épaule et habillé d'une salopette bleue. Ce soir, comme j'ai passé une mauvaise journée et que j'ai un peu bu, je suis quasiment nu en-dessous tandis qu'une bretelle a glissé.

!![Frappements à la porte] !!

Je me lève automatiquement. Est-ce parce que je sais que cela va être quelque chose de mauvais ? En tout cas, je tremble un instant...

Un homme méchamment bizarre entre dans notre ferme. J'aime pas ça. Je grogne. L'autre ne réagit pas. Il semble s'être endormi sur place... avec les yeux ouverts... Je peux pas m'empêcher d'avoir un nouveau frisson. Fuck !

Je brise une bouteille sur le coin de la table ! Je suis armé MAINTENANT ! Je m'approche de l'autre et lui demande ce qu'il veut ! Et presto MACHIN !

Choix:

Une petite lame sertie dans un métal ornée d'un chasseur couleur or dans la main droite. De l'autre un morceau de saucisson sec artisanal.

//Tousse//

Quelques cendres de la cigarette roulée à la main tombe sur la table.

!![Frappements à la porte] !!

L'homme pose le saucisson réajuste son chapeau de paille psychédélique et suit les deux autres hommes couteau toujours en main. L'un posa des questions à l'individu dans l'ombre de la nuit.

Aucune réponse mais des gémissements faible se font entendre et cela ne rassure pas l'homme au couteau.

Nos deux protagoniste avaient décidé de se mesurer à l'homme qui avait détruit la porte mais se fut un mauvais choix. Bien que armé, il avait donné un coup de poing à un de nos deux protagoniste, il fallait choisir une autre solution.

Maintenant vous devez faire un choix,
1-vous vous dirigez à l'étage
2-vous allez dans la salle à manger
3-vous allez dans le garage

Je vais vous rejoindre plus tard dans l'histoire

L'homme au canif doré avait du mal à dessiner la forme de l'individu plongé dans l'ombre.

Il cria après celui-ci et pointa l'arme en sa direction.

L'individu alors menacé se mit en action.

En s'avançant vers la lumière du petit couloir d'entrée qui servait de jonction entre différentes pièces, l'homme au canif prit peur devant cette chose inhumaine qui arrivait vers eux.

Étant sous le choc, il ne put se défendre contre le coups de poing de cette chose.

Il reprit tant bien que mal ses esprits et recula pour prendre la direction de l'étage à toute vitesse.

La créature continuait d'avancer mais lentement.

Je ne comprends rien. Je pense que mon cerveau bloque l'afflux de certaines informations pour ne pas rester paralyser par la peur. Il y a devant moi quelque chose qui ne devrait pas exister. Quelque chose que l'homme ne devrait jamais rencontrer. Si ce n'est dans certaines histoires pour faire peur aux gosses et pouvoir les manipuler pour avoir la paix.

Je vois mon ami s'enfuir à l'étage avec son canif doré et son morceau de saucisson. Je m'apprête à le suivre quand une idée germe dans mon esprit ! Sans réfléchir plus longuement, je me dirige en courant vers le garage. Là-bas, il y aura surement de quoi trouver une solution pour pallier à ce problème puant !

Choix:

A l'étage vous trouverez des armoires, des placards, vos lits, des livres, des outils de jardinage tout rouillé dans le grenier
Dans le garage vous allez trouver une camionnette et tout un tas de livre, pièces mécaniques, un fusil, des cartouches , barres de ferailles.

Le zombie avait suivi l'homme au canif. Mais, tout en se préparant à sa venue il vit quelque chose. Plusieurs zombies étaient en train d'arriver!!
Dépechez vous, où vous ne pourrez plus vous en sortir!!!

Dans cette situation complètement pourrie où la peur défonce mes entrailles, je ne peux m'empêcher de sourire bêtement. Je le savais. Je le savais ! Devant moi se trouve le fusil de chasse de la famille. Mon père a du passer par là récemment car il est bien propre, et toutes les boîtes de cartouches sont rigoureusement alignés. Pas un ne dépasse !

Je m'en empare et me prépare à venir en aide à mon ami quand deux choses attire mon regard. D'abord, il y a ces barres de ferraille. Il faut que je les prenne. On ne sait jamais. Si je viens à manquer de cartouche ou si le fusil déconne. Puis, ça me détendra un peu plus de sentir tout ce fer sur moi.

Ensuite, et c'est là que je me rends compte que l'humanité est une salope, je vois la camionnette. Lorsque je la vois, j'entends des bruits. Je me retourne et, derrière la porte, je peux trop bien imaginer une horde de mecs dégueulasses et effrayants pénétrer en masse dans la ferme. Le danger est trop grand. J'ai trop peur. Je ne suis pas un héros. Désolé mec, mais chacun sa merde.

Moi ? Je me barre !

Le moteur de la camionnette se faisait entendre dans toute la ferme. A son habitude, elle devait cracher de bon gros nuage noir avant de pouvoir la faire avancer.

Je les voyais ce pousser les uns et les autres pour monter me rejoindre. PANIQUE ! !

Mon premier réflexe fut de pousser l'armoire de façon à bloquer le passage, le temps de réfléchir.

Tel un pétard de forain la camionnette entama son deuxième crachat. Cette fois-ci l'homme au canif l'entendis. Il n'y avait pas trente-six sorti pour son ami.

Il avait peur de ce qu'il allait faire, mais il se disait que peut être tout ces "monstres" étaient rassemblé à l'intérieur de leur maison et qu'il n'y en avait plus dehors.

Il ouvra donc la fenêtre et sauta sur la toiture d'une écurie un peu en contre-bas puis sur la niche du chien. Un chien complétement éventré.

Il aperçu la camionnette sortir à toute allure du garage. Il se plaça dans la trajectoire de celle-ci et fit de grand signe à son ami.

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